Dans le monde financier, il existe des lois strictes qui interdisent aux banquiers de financer les entreprises en difficulté. Malheureusement, cette réalité a des conséquences dévastatrices pour de nombreuses petites entreprises, René Hans nous parle d’un cas où une entrepreneuse a failli tout perdre pour 11 500 €… Son entreprise est actuellement en plan de continuation, et elle se trouve confrontée à un défi majeur : l’achat d’une camionnette de livraison dont le leasing touche à sa fin. Malgré un besoin de financement modeste de 11 500 €, aucune banque ne semble prête à la soutenir.

Face à cette situation, Capital Initiative propose une solution à cette cheffe d’entreprise : le rachat temporaire d’actifs. Il s’agit d’une approche où l’entreprise achète l’actif nécessaire, en l’occurrence, la camionnette, pour ensuite la relouer. Cette alternative permet d’étaler le remboursement sur des mensualités adaptées, offrant ainsi une perspective réaliste de continuation d’activité. La dame dont il est question dans cet exemple est elle-même surprise de la difficulté rencontrée pour obtenir un financement de 11 500 €, une somme relativement modeste. Sans, ce financement, la société faisait faillite, aujourd’hui, elle réalise un chiffre d’affaires de 4 millions d’euros.

Cet exemple poignant soulève une problématique majeure : la survie des petites entreprises. Ces acteurs économiques, souvent méconnus, constituent un tissu vital pour l’économie locale. Il est crucial de ne pas les laisser mourir face à des difficultés financières, d’autant plus que les coûts énergétiques augmentent. La réindustrialisation du pays ne peut se faire sans la préservation de ces entreprises qui jouent un rôle essentiel dans la création d’emplois et le développement économique.